Filet de mulet à la peau, vapeur de champignons blonds
Jets de soya et chou chinois, sauce crue au tamari et à l’huile de sésame
Ingrédients
- Matériel:
- Cuiseur vapeur
- Couteaux : chinois, office, trancheur
- Ingrédients pour 4 couverts
- 600 g. de filet de mulet avec peau ou de lieu noir ou d’aiglefin
- Pour l’huile de basilic:
- 500 g. de champignons blonds coupés en 4
- 1 petit chou chinois, feuilles détachées et coupées en tronçons de quelques centimètres
- 400 g. de jets de soya
Préparation
Lorsque tout est cuit, dressez le poisson et les légumes dans des assiettes préchauffées et assaisonnez avec la sauce crue. Décorez avec les jeunes pousses
Commentaires
Nous recommandons généralement de manger en respectant les bonnes associations alimentaires ; c’est un sujet très controversé mais auquel il faut porter une grande attention car en associant des aliments qui ont des temps et un pH de digestion différents, on complique terriblement la digestion.
L’on compromet aussi la valeur nutritive des nutriments ingurgités. La digestion enzymatique au niveau de l’estomac est très importante car elle conditionne toute la préparation des nutriments pour qu’au niveau du grêle, ils puissent être utilisés avec succès ; s’ils n’ont pas la forme requise, ils ne pourront pas passer dans le courant sanguin et être conduits là où ils sont nécessaires. De plus, s’ils passent malgré tout à travers la paroi intestinale, et pénètrent dans notre monde intérieur, ils acidifieront petit à petit le terrain, affaiblissant notre système immunitaire et le rendant alors très réceptif aux infections et, à plus long terme, aux maladies dégénératives !
Les aliments fortement transformés, cuits à très haute température, raffinés, les produits chimiques ou ceux qui ne font pas partie de notre plage alimentaire rendent la paroi intestinale perméable ou poreuse et favorisent une flore intestinale pathogène menant à l’acidification du terrain. Comme le disait Antoine Béchamp, fervent opposant de la médecine chimique et vaccinale de Louis Pasteur : « le microbe n’est rien, le terrain est tout ».