Santé / Naturopathie
Mieux digérer, c’est préserver notre vitalité
Boire et se nourrir : des rituels à pratiquer selon les lois de l’harmonie digestive. Il existe un « code de la route digestive » et nous avons avantage à le mettre en pratique. Un petit rappel ?
Mieux vaut privilégier la qualité des aliments et diminuer la quantité. Les associations d’affinités et de complémentarités au menu permettent d’éviter les coups de pompes digestifs, voire des troubles chez les personnes dont le terrain est fragilisé. Exemple : les céréales, légumineuses et oléagineux sont compatibles entre eux et incompatibles avec les aliments acides tels que les agrumes – les fruits acides – le vinaigre et le vin…
Du côté des saveurs
Doser et varier les saveurs contribue à l’équilibre des organes et des glandes : nous déréglons parfois nos glandes selon nos attirances alimentaires et c’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles un régime amaigrissant fonctionne pour certaines personnes et pas pour d’autres. Il est important d’éviter les excès d’une saveur et/ou de combler les carences d’une autre.
De plus, nos glandes sont en connexion avec les centres d’énergie de notre corps, eux-mêmes influencés par notre psychisme. Par exemple, vivre dans l’esprit de compassion et de coopération ménage les surrénales alors que la peur et l’esprit de compétition (considérant l’autre comme un adversaire à combattre) les épuisent…
En résumé, une gestion de pensée bienveillante et efficace peut être considérée comme un facteur de notre vitalité et mâcher nos mots serait aussi bon que de mâcher nos aliments !
Doser et varier les saveurs contribue à l’équilibre des organes et des glandes : nous déréglons parfois nos glandes selon nos attirances alimentaires et c’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles un régime amaigrissant fonctionne pour certaines personnes et pas pour d’autres. Il est important d’éviter les excès d’une saveur et/ou de combler les carences d’une autre.
De plus, nos glandes sont en connexion avec les centres d’énergie de notre corps, eux-mêmes influencés par notre psychisme. Par exemple, vivre dans l’esprit de compassion et de coopération ménage les surrénales alors que la peur et l’esprit de compétition (considérant l’autre comme un adversaire à combattre) les épuisent…
En résumé, une gestion de pensée bienveillante et efficace peut être considérée comme un facteur de notre vitalité et mâcher nos mots serait aussi bon que de mâcher nos aliments !
Mâcher, un plaisir à faire durer
Une clé essentielle pour la bonne assimilation des nutriments et l’économie de notre énergie est de mastiquer notre nourriture jusqu’à ce qu’elle devienne liquide, avant de l’avaler. Finis la somnolence et le besoin de sieste après le repas…
Une mastication trop courte prolonge la digestion, perturbe la flore intestinale, cause de nombreux troubles. Mâcher à fond permet de recharger notre « corps vital » aussi appelé éthérique : il a pour fonction de recevoir et transmettre l’essence de vie (le prâna en sanskrit). De nos jours, ce corps est souvent en déséquilibre compte tenu d’un manque de contact direct avec l’énergie de la terre, de l’électrosmog causé par les champs artificiels des nouvelles technologies ainsi que de nombreux stress auxquels certains d’entre nous réagissent par une compensation alimentaire.
Ce réflexe a sa logique car le corps vital, trop sollicité, se nourrit des particules éthériques des aliments alors que nous n’avons pas encore digéré et nous nous sentons revigorés dès la première bouchée ! Le hic, c’est que dans ce schéma de compensation, nous mangeons sans que notre corps physique en ait besoin et nous lui imposons un surcroît de travail générateur d’épuisement et de déséquilibre avec pour résultat un gaspillage de notre capital vital. Nul besoin de se fatiguer la rate à calculer des calories, mâcher avec soin déclenchera le signal de satiété.
Et mieux : les sages nous conseillent de terminer le repas en restant sur une légère faim et de prendre l’habitude de faire quelques respirations douces et profondes, avant, pendant et au moment de terminer le repas pour nous apaiser et favoriser le métabolisme.
Une clé essentielle pour la bonne assimilation des nutriments et l’économie de notre énergie est de mastiquer notre nourriture jusqu’à ce qu’elle devienne liquide, avant de l’avaler. Finis la somnolence et le besoin de sieste après le repas…
Une mastication trop courte prolonge la digestion, perturbe la flore intestinale, cause de nombreux troubles. Mâcher à fond permet de recharger notre « corps vital » aussi appelé éthérique : il a pour fonction de recevoir et transmettre l’essence de vie (le prâna en sanskrit). De nos jours, ce corps est souvent en déséquilibre compte tenu d’un manque de contact direct avec l’énergie de la terre, de l’électrosmog causé par les champs artificiels des nouvelles technologies ainsi que de nombreux stress auxquels certains d’entre nous réagissent par une compensation alimentaire.
Ce réflexe a sa logique car le corps vital, trop sollicité, se nourrit des particules éthériques des aliments alors que nous n’avons pas encore digéré et nous nous sentons revigorés dès la première bouchée ! Le hic, c’est que dans ce schéma de compensation, nous mangeons sans que notre corps physique en ait besoin et nous lui imposons un surcroît de travail générateur d’épuisement et de déséquilibre avec pour résultat un gaspillage de notre capital vital. Nul besoin de se fatiguer la rate à calculer des calories, mâcher avec soin déclenchera le signal de satiété.
Et mieux : les sages nous conseillent de terminer le repas en restant sur une légère faim et de prendre l’habitude de faire quelques respirations douces et profondes, avant, pendant et au moment de terminer le repas pour nous apaiser et favoriser le métabolisme.
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L’olfaction
Elle aide à rompre le cercle vicieux de la compensation : rien que de sentir l’arôme d’une ou plusieurs huile(s) essentielle(s) commencera à nous recharger.
Sortir la bouteille de notre poche peut être le nouveau réflexe en cas de stress : laurier noble (anxiété, dyspepsie), lavande (apaisante, dystonie neurovégétative), géranium bourbon (irritabilité, déprime, émotivité…) ou toute autre H.E. suggérée.
Car, naturellement, en cas de troubles, il est recommandé de s’adresser à un(e) professionnel(le) de la santé pour recevoir des conseils personnalisés adaptés à votre situation et votre profil.
En effet, jouer ce concerto digestif demande d’être calme au moment du repas. « Boire les solides et mâcher les liquides » aurait dit Gandhi : les boissons aussi gagnent à être gardées un moment dans la bouche avant d’être avalées à petites gorgées.
Boire, oui et pas n’importe quand
Peu importe la boisson, boire ou absorber de la nourriture liquide (yaourt…) 1/2h avant ou en début de repas déclenche l’arrivée de sucs biliaires et pancréatiques intacts « libres et agressifs » dans le côlon. Cela entraîne un réflexe de fermeture du pylore, cause des ballonnements, du reflux gastrique, irrite les intestins et ralentit le transit… Les personnes sujettes à ces troubles vont avoir tendance à manger plus liquide que solide (yaourts, laitages, potages, jus de fruits…) pour faciliter la vidange gastrique à travers un pylore fermé.
Elle aide à rompre le cercle vicieux de la compensation : rien que de sentir l’arôme d’une ou plusieurs huile(s) essentielle(s) commencera à nous recharger.
Sortir la bouteille de notre poche peut être le nouveau réflexe en cas de stress : laurier noble (anxiété, dyspepsie), lavande (apaisante, dystonie neurovégétative), géranium bourbon (irritabilité, déprime, émotivité…) ou toute autre H.E. suggérée.
Car, naturellement, en cas de troubles, il est recommandé de s’adresser à un(e) professionnel(le) de la santé pour recevoir des conseils personnalisés adaptés à votre situation et votre profil.
En effet, jouer ce concerto digestif demande d’être calme au moment du repas. « Boire les solides et mâcher les liquides » aurait dit Gandhi : les boissons aussi gagnent à être gardées un moment dans la bouche avant d’être avalées à petites gorgées.
Boire, oui et pas n’importe quand
Peu importe la boisson, boire ou absorber de la nourriture liquide (yaourt…) 1/2h avant ou en début de repas déclenche l’arrivée de sucs biliaires et pancréatiques intacts « libres et agressifs » dans le côlon. Cela entraîne un réflexe de fermeture du pylore, cause des ballonnements, du reflux gastrique, irrite les intestins et ralentit le transit… Les personnes sujettes à ces troubles vont avoir tendance à manger plus liquide que solide (yaourts, laitages, potages, jus de fruits…) pour faciliter la vidange gastrique à travers un pylore fermé.
D’autres vont lever le spasme en fumant à la fin du repas ou encore certaines vont grignoter pour absorber les sécrétions acides de l’estomac et pour éviter la douleur d’une gastrite. Ces réactions qui cherchent à améliorer le confort ne résolvent pas le problème, au contraire.
Pour protéger le tube digestif, l’expérience confirme l’importance :
1) d’éviter de boire dans les 3/4h, voire l’heure avant de manger ;
2) de commencer tout repas consistant par la consommation d’aliments solides : salade, légumes, céréales, poisson… et de manger ensuite les aliments plus liquides. Donc, à la saison des potages, le meilleur moment pour le consommer est à la fin du repas ou à petites gorgées pendant le repas, tout en consommant d’autres aliments.
Inviter la musique à table ?
La musique, en modifiant notre perception du temps, influe sur le rythme de consommation du repas. Des études ont montré que le rock ou le jazz poussent à manger vite et que la musique classique lente, surtout pour le violon, induit l’apaisement et permet de manger à l’aise. Alors, en musique, en silence ou dans une atmosphère conviviale, je vous souhaite de vivre le bien-être auquel contribue l’harmonie digestive, incontournable pour entretenir notre vitalité.
Pour protéger le tube digestif, l’expérience confirme l’importance :
1) d’éviter de boire dans les 3/4h, voire l’heure avant de manger ;
2) de commencer tout repas consistant par la consommation d’aliments solides : salade, légumes, céréales, poisson… et de manger ensuite les aliments plus liquides. Donc, à la saison des potages, le meilleur moment pour le consommer est à la fin du repas ou à petites gorgées pendant le repas, tout en consommant d’autres aliments.
Inviter la musique à table ?
La musique, en modifiant notre perception du temps, influe sur le rythme de consommation du repas. Des études ont montré que le rock ou le jazz poussent à manger vite et que la musique classique lente, surtout pour le violon, induit l’apaisement et permet de manger à l’aise. Alors, en musique, en silence ou dans une atmosphère conviviale, je vous souhaite de vivre le bien-être auquel contribue l’harmonie digestive, incontournable pour entretenir notre vitalité.
Et le verre d’eau ou le jus de légumes au lever ?
Oui, si vous patientez une heure avant de petit-déjeuner. Et si vous faites le choix de commencer votre journée par une de ces boissons, ajoutez-y 3 petites gouttes de citron ou 3 feuilles de menthe fraîche (lavées & sans les consommer) qui feront merveille pour la dynamiser.
Oui, si vous patientez une heure avant de petit-déjeuner. Et si vous faites le choix de commencer votre journée par une de ces boissons, ajoutez-y 3 petites gouttes de citron ou 3 feuilles de menthe fraîche (lavées & sans les consommer) qui feront merveille pour la dynamiser.
Anne Denis
Naturopathe – UNB
Auteure de : « S’alimenter et régénérer sa vitalité », éditions Amyris.
Cours d’auto-drainage lymphofluide en 2 séances, les 24 octobre et 07 novembre de 18h30 à 21h30.
Se ressourcer par les ondes sonores en groupe : 23 octobre – 27 novembre – 18 décembre.
02/649 83 06
www.naturo.ateliersaphir.com
www. ateliersaphir.com
Naturopathe – UNB
Auteure de : « S’alimenter et régénérer sa vitalité », éditions Amyris.
Cours d’auto-drainage lymphofluide en 2 séances, les 24 octobre et 07 novembre de 18h30 à 21h30.
Se ressourcer par les ondes sonores en groupe : 23 octobre – 27 novembre – 18 décembre.
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